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Par où commencer ?

Pour éloigner la menace des audits menés par les éditeurs et faire des économies, il n’y a pas de solution miracle. La seule option viable consiste à mettre en place une vraie gestion des licences. Afin de démarrer du bon pied sans réinventer la roue, quoi de plus naturel que de puiser dans les référentiels de bonnes pratiques ?

Le plus connu de tous, ITIL® v3, évoque bien la gestion des licences. Elle est saupoudrée un peu partout, notamment dans la gestion des configurations (SACM) et celle des déploiements (RDM). Malheureusement, aucun des 26 processus de la version 3 Edition 2007 ne la traite de manière suffisamment concrète et explicite pour faciliter sa mise en pratique. Ce n’est guère mieux avec l’édition 2011. Tout au plus peut-on s’appuyer sur une publication périphérique d’ITIL datant de 2003 et révisée en 2009 : Software Asset Management (SAM). Cet ouvrage, riche en informations de qualité, est un excellent point de départ mais j’en connais qui, malgré plusieurs lectures intégrales et attentives, ne savent toujours pas par quel côté attaquer la falaise. Il y a bien la norme ISO 19770-1:2013 adossée à ITIL Software Asset Management, mais elle n'a rien d'un guide pratique. En réponse à ces difficultés, l'AFNOR a publié GA Z67-215, un guide pratique pour la mise en application d'ISO 19770-1. Sa lecture m'a laissé sur ma faim.

La deuxième star des référentiels, CMMI, est étrangement muette sur le sujet. Son cousin eSCM, issu lui aussi de l’université a title="Université Carnegie Melon"""""Carnegie Mellon et spécialisé dans l’outsourcing informatique, donne en une page et demi quelques lignes directrices intéressantes mais incomplètes au point d’engendrer un désagréable sentiment de frustration. Quant à COBIT 5, il propose quelques objectifs de bon aloi et un cadrage fort bien fait du processus de gestion des actifs, sans détailler la mise en musique.

Au-delà des référentiels du marché, il existe quelques offres de prestations prônant une externalisation de la gestion des licences… auprès d’éditeurs ou de distributeurs de logiciels ! L’expertise est probablement au rendez-vous, mais songeriez-vous raisonnablement à mandater votre épicier pour remplir vos placards et votre réfrigérateur ?

Face aux lacunes des référentiels publics, Liscience a donc développé un référentiel exclusif pour aider ses clients à démarrer du bon pied avec la gestion des actifs logiciels et des licences (voir l'article Enfin un référentiel pour booster votre gestion des actifs IT).

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